cours du 14/10

Aujourd'hui, nous avons commencé par l'écoute d'une chanson de Serge Reggiani, "Le temps qui reste", et avons échangé nos impressions.

Il y a aussi eu une bonne discussion sur nous et nos projets. 

Ensuite, nous avons étudié le cinéma d'animation en regardant des courts métrages de plusieurs grands noms du milieu. Nous avons commencé par les 3 courts métrages de Jans Svankmeyer "possibilité de dialogue". Nous avons ensuite enchaîné sur "Le conte des contes" de Yuri Norstein. Puis nous avons regardé "l'abécédaire" de David Lynch, 2 court métrages des Frêres Quay "In Absentia" et "Répétitions pour des anatomies défuntes". Puis un extrait de "l'ange" de Bokanowski, et enfin, "Pic Pic et André" de Patar et Aubier.

Comments

[brunellechi]

j'ai beaucoup aimé la chansons, dont j'ai trouvé les mots très puissants, cela résonner en moi comme un appel a la vie.
L'age n'a pas d'importance pour vivre sa vie.

J'ai aussi énormément apprécié les court metrage en stop motion, que j'ai trouvé beau esthetiquement, et l'univers restrancris par exemple par les frères quai est un univers qui m'attire énormément, et que j'essaie de m'approprier de manière personnel dans mes projets.

[FB]

La chanson ne m'as pas vraiment plu, ce n'est pas mon genre, et je ne recois vraiment pas le sens des paroles.

Les extraits de cinéma d'animation étaient interessants, j'ai surtout aimé "possibilités de dialogue". "Le conte des contes" était sympa à voir, mais je n'en saisi pas vraiment la portée. Mais je me doute bien qu'il n'a pas été nommé "animation de tous les temps" pour rien.
"L'abécédaire" était assez glauque je trouve, mais moins que les deux courts métrages des frêres Quay, qui m'ont fait flipper.
Enfin, "Picpic et André" étaient excellents, très plaisants à voir.

[RC]

J'ai bien apprécié de voir différents types de cinéma d'animation, je trouve cela enrichissant.
J'ai eu une préférence pour les frères Quay, j'ai beaucoup aimé leurs décors et l'ambiance.

Je n'ai pas spécialement été sensible à la chanson de Serge Reggiani, "Le temps qui reste".